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Actualité du 13-12-2022: Après le colloque des 15-16-17 novembre 2021 à Yaoundé et consacré à « Njoh Mouelle et le transhumanisme en Afrique », le philosophe vient de prendre part à la Conférence périodique mondiale du Mouvement Transhumaniste, « TransVision Paris 22 », invité par l’Association Française Transhumaniste, l’organisatrice. Il était assisté de jeunes collègues de Côte d’Ivoire (Victorin Ekpo Kouadio) et du Togo ( Siba Tcha), sans oublier les Camerounais Armand Ngaketcha et Sandrine Ngatchou, tous ayant pris part au colloque de Yaoundé, un an auparavant. Après le colloque des 15-16-17 novembre 2021 à Yaoundé et consacré à « Njoh Mouelle et le transhumanisme en Afrique », le philosophe vient de prendre part à la Conférence périodique mondiale du Mouvement Transhumaniste, « TransVision Paris 22 », invité par l’Association Française Transhumaniste, l’organisatrice. Il était assisté de jeunes collègues de Côte d’Ivoire (Victorin Ekpo Kouadio) et du Togo ( Siba Tcha), sans oublier les Camerounais Armand Ngaketcha et Sandrine Ngatchou, tous ayant pris part au colloque de Yaoundé, un an auparavant. C’est la première fois que l’Afrique est présente à ces assises et ses représentants ont saisi l’occasion pour dire que tout en adhérant à tout ce qui représente l’amélioration des capacités de l’homme, ils demeurent assez réservés par rapport aux projets dans lesquels on aurait du mal à continuer à parler de l’homme ou de l’être humain. A ce sujet, Njoh Mouelle a utilisé une formule qui résume bien cette préoccupation quand il a affirmé pendant ses interventions qui furent nombreuses, en dehors des deux tables rondes auxquelles il a participé, que le transhumanisme devrait demeurer avant tout un humanisme. Au cours de ces assises, le livre des Actes du colloque de 2021 à Yaoundé sorti de presse exactement le 18 novembre, jour d’ouverture de TransVision Paris 22, a été présenté sur les stands d’exposition prévus à cet effet. Images 1
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