LE MOT DE CLÔTURE
Du Président du Colloque

Monsieur le Secrétaire Général du Ministère de l’Enseignement Supérieur,
         Représentant de Monsieur le Ministre empêché
Monsieur Yves Bourguignon, Directeur du Centre Culturel Français
         Représentant  de S.E.M l’Ambassadeur de France à Yaoundé
Mesdames et Messieurs,
         Chers Collègues,

         Nous voici arrivés au terme de notre colloque qui a bien mérité de s’appeler « Rencontres Philosophiques Internationales Francophones de Yaoundé ». Après l’avoir envisagé initialement pour trois jours, nous avons dû donner à ce colloque une durée de quatre jours, au vu du grand intérêt que suscitait son argumentaire. Nous avons jugé nécessaire d’ouvrir le maximum d’espace d’intervention possible aux demandes venues de l’intérieur.

         Je voudrais une fois de plus remercier tous les collègues venus du Niger, du Gabon, de France, du Canada, d’Italie et d’Allemagne. Votre présence a conféré à nos échanges la dimension internationale dont ils ont affiché la prétention dès leur intitulé.

         Si le Cercle Camerounais de philosophie est à l’honneur pour avoir pris la responsabilité de l’organisation des présentes rencontres, c’est l’ensemble des départements de philosophie des universités camerounaises qui se félicitent de cette expérience qui s’est annoncée elle-même comme voulant et devant se répéter périodiquement.

         Un colloque, ce n’est pas un congrès d’association, ni une assemblée générale conduisant à l’adoption de résolutions. Un colloque, et qui plus est, un colloque de philosophie, c’est, à proprement parler, un rendez-vous du donner et du recevoir. Le plus important réside dans les échanges effectués ainsi que dans leur diffusion ultérieure pour une exploitation libre par quiconque. C’est pourquoi la prétention du Rapport général dont nous venons de suivre la lecture, préparé par les rapporteurs, se limite à n’être qu’un élément formel dans un protocole de clôture.

         Il nous reste à mettre en chantier, en vue d’une publication rapide, le document des Actes du Colloque qui devra comporter la retransmission des débats. A ce sujet, je voudrais vous prier, chers collègues, d’accepter qu’il vous soit envoyé par la suite, et pour relecture et approbation, le texte de vos diverses interventions. Comme nous avons bien fonctionné sur Internet et que nous avons toutes vos adresses, nous nous en servirons comme cela a été le cas lors de la préparation de ce colloque.

       Encore une fois,
Monsieur le Représentant du Ministre de l’Enseignement Supérieur,
Monsieur le Représentant de l’Ambassadeur de France,
         Mesdames et Messieurs,

         Chers Collègues,
         Je vous renouvelle mes sincères remerciements, ainsi que ceux de tout le Cercle Camerounais de philosophie, pour votre participation aux  Rencontres qui se terminent. Veuillez également accepter mes chaleureux compliments pour votre contribution au rehaussement du niveau des discussions qui ont eu lieu.

         Merci de votre très aimable attention.

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